Né il y a plusieurs siècles en Amérique du Nord, le capteur de rêves est devenu un motif de tatouage particulièrement prisé. Portrait signé Crock’Ink.
L’attrape-rêves, qui répond aussi au nom de « capteur de rêves », puise ses origines chez les cultures autochtones des actuels Canada et États-Unis. Sa source, c’est particulièrement chez les Ojibwés qu’on la trouve, troisième groupe de Natifs-Américains les plus nombreux après les Cherokees et les Navajos.
Là-bas, l’expression « dreamcatcher » désigne un objet artisanal composé :
Selon la croyance populaire, le capteur de rêves empêche les mauvais rêves de s’immiscer dans le sommeil de celui qui le possède. L’attrape-rêves agirait comme un filtre et capterait les songes envoyés par les esprits, pour ne conserver que les belles images de la nuit et brûler les mauvaises visions aux premières lueurs du jour.
En tatouage, l’attrape-rêves s’invite sur toutes les zones du corps : fréquent sur l’avant-bras, il pose aussi sur les mollets, les épaules, voire les colonnes vertébrales. Sa force ? Faire montre d’une grande variété dans ses formes. Si les perles et les plumes y sont monnaie courante, il s’accompagne facilement d’autres ornements – tant et si bien que chaque tattoo d’attrape-rêves est unique.
Pour faire passer votre projet tatouage du rêve à la réalité, adoptez le réflexe Crock’Ink Nancy ! Notre studio vous accueille au 14 rue Gustave Simon, du lundi au samedi de 11h à 19h – masqué·es et hors périodes de confinement. Contactez-nous :