Un coup de chaud ? Rien de tel qu’un tatouage d’iceberg pour garder la tête froide… ou toute autre partie du corps. Gros plan sur ces terribles glaçons signé Crock’Ink.
Si le mot « iceberg » ne fleure pas vraiment la langue de Molière, c’est qu’il s’agit initialement d’un mot anglais lui-même issu du terme norvégien « ijsberg ». Derrière ce nom se cache un bloc de glace de grande taille flottant à la surface de la mer, devenu même une expression populaire : « la partie immergée de l’iceberg », désignant la partie cachée – et la plus importante – d’une affaire, en général délictueuse…
Mais au-delà de ces considérations sémantiques, l’iceberg est aussi devenu un motif qui s’est invité sur les peaux des tatouées et tatoués de France et d’ailleurs. Nullement traumatisé·es par le film Titanic et la mort de Jack, ces amateurs d’encrage ont donné à leur épiderme de jolies allures d’Antarctique.
Quel que soit son style et la partie du corps sur laquelle il flotte, le tatouage d’iceberg est souvent bipartite : la partie immergée et la partie à l’air libre sont délimitées par un simple trait. Au réalisme sont préférées d’autres écoles comme le dotwork, le graphique ou encore le géométrique. Avec ce dernier, l’iceberg se confond avec un diamant aux maints carats – quel bijou plus beau pour votre peau ?
Depuis le 12 mai 2020, le studio de tatouage à Nancy Crock’Ink vous pique à nouveau, dans le respect le plus strict des gestes barrière. Pour passer sous nos aiguilles du lundi au samedi de 11h à 19h au 14 rue Gustave Simon, vous pouvez :