Si l’on vous dit, en prenant la voix de Julien Lepers pour une immersion totale : "instrument de musique à cordes pincées, à manche garni de frettes, et dont la caisse plate est échancrée", vous répondez ?..
Cheville, sillet, éclisse, rosace et chevalet : plus qu’un simple instrument de musique, la guitare (et les éléments qui la composent) a su transcender les simples frontières des salles de concert pour s’inviter sur les peaux.
Le point commun le plus évident entre l’instrument et le tattoo ? Probablement le caractère pluriséculaire de leurs origines. Selon certaines hypothèses, la guitare dériverait de la cithare romaine, d’origine assyrienne et grecque, et aurait fait son apparition en Espagne avant l’invasion arabe. Ça ne nous rajeunit pas… mais Ötzi (homme ayant vécu il y a 4 600 ans – et tatoué) non plus.
Au 21ème siècle, celle qui puiserait son étymologie dans le mot égyptien kithara figure donc parmi les motifs de tattoo chéris des amoureux·ses de musique. Les esprits les plus farouchement rationnels opteront pour le style réaliste : on distinguera alors les aspérités du bois sur une guitare acoustique ou les reflets brillants sur une électrique. Pour s’échapper un peu de la réalité, on pourra aussi craquer pour un tatouage linéaire ou minimaliste, grâce auquel on ne fera que deviner le manche et les cordes.
Liste d’idées absolument pas exhaustive : pour en trouver encore plus, rendez-vous sur Pinterest !
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