D’où vient le tatouage dotwork ? Que désigne-t-il exactement ? Crock’Ink fait – sans mauvais jeu de mots – le point sur la question.
Sans pointillisme naguère, point de dotwork aujourd’hui ! Ce premier désigne un mouvement artistique de la peinture ainsi qu’une technique picturale, où de petites zones de couleur juxtaposées sont préférées à des mélanges et des tons rompus. Également appelé "divisionnisme", le pointillisme a pour figures tutélaires les peintres français Georges Seurat et Paul Signac.
Près d’un siècle et demi après la naissance du pointillisme, les peaux ont remplacé les toiles au rang de supports artistiques. Aujourd’hui, le dotwork – littéralement "travail du point" – a détrôné son illustre ancêtre et propose de coucher sur les épidermes, des pièces réalisées point par point.
Pour autant, le dotwork doit-il être opposé aux autres styles de tatouage comme le réalisme ou l’old school, par exemple ? Non ! En effet, le dotwork est plus une technique qu’une véritable école à part entière. Même s’il est naturellement privilégié pour la réalisation de tattoos de mandalas, géométriques ou encore polynésiens, il s’adapte à de nombreuses mouvances.
À noter : la plupart de ces réalisations restent monochromes, c’est-à-dire en noir et gris.
Motifs prévalents, différents rendus dans le travail des ombres et des textures : le dotwork ouvre un foisonnant champ des possibles ! Besoin d’inspiration pour un tattoo dot ? Rendez-vous sur Pinterest !
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